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A l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle ASD, Agence de Sauvegarde des Doudous, Melle Morot, déléguée du ministère du patrimoine affectif, vient présenter la collection « Josef Lagavitch », une collection de coffres à doudou. Après un bref historique sur le doudou à travers les âges, nous nous pencherons sur la forme parfois étonnante que peut prendre un doudou, le problème de son odeur, de sa discrétion, ses perspectives d’avenir, sait-il garder un secret… avant d’évoquer la vie de Josef Lagavitch, fondateur de l’ASD.

Distribution : Texte : Frédérique Moreau De Bellaing / jeu : Frédérique Moreau de Bellaing et Julien Lett / regard extérieur : Alain Fabert et Laure Seguette

Séance à 19h et 21h

Au jardin Darcy Prix libre dans le cadre de « L’été on continue »

C’est l’histoire d’une femme merveilleusement simple, pas banale, mais simple, c’est-à-dire ne recherchant que les petits bonheurs qu’offre la vie. Un petit rien l’enchante. Et puis surtout, au début de l’automne, elle rencontre l’amour de sa vie. Elle tient à nous en parler.
Ça commence comme l’aveu banal d’une histoire d’amour ordinaire, avec son éblouissement premier, ses complications prévisibles, et peu à peu, sans crier gare, ça glisse vers un drame humain de notre temps.

Cette histoire, c’est la sienne, ça pourrait être la nôtre.

MJC Montchapet. Gratuit

C’est l’histoire d’une femme merveilleusement simple, pas banale, mais simple, c’est-à-dire ne recherchant que les petits bonheurs qu’offre la vie. Un petit rien l’enchante. Et puis surtout, au début de l’automne, elle rencontre l’amour de sa vie. Elle tient à nous en parler.
Ça commence comme l’aveu banal d’une histoire d’amour ordinaire, avec son éblouissement premier, ses complications prévisibles, et peu à peu, sans crier gare, ça glisse vers un drame humain de notre temps.

Cette histoire, c’est la sienne, ça pourrait être la nôtre.

Au jardin de l’Arquebuse – Prix libre dans le cadre de « L’été on continue »

C’est l’histoire d’une femme merveilleusement simple, pas banale, mais simple, c’est-à-dire ne recherchant que les petits bonheurs qu’offre la vie. Un petit rien l’enchante. Et puis surtout, au début de l’automne, elle rencontre l’amour de sa vie. Elle tient à nous en parler.
Ça commence comme l’aveu banal d’une histoire d’amour ordinaire, avec son éblouissement premier, ses complications prévisibles, et peu à peu, sans crier gare, ça glisse vers un drame humain de notre temps.

Cette histoire, c’est la sienne, ça pourrait être la nôtre.

Au jardin de l’Arquebuse- Prix libre dans le cadre de « L’été on continue »

C’est l’histoire d’une femme merveilleusement simple, pas banale, mais simple, c’est-à-dire ne recherchant que les petits bonheurs qu’offre la vie. Un petit rien l’enchante. Et puis surtout, au début de l’automne, elle rencontre l’amour de sa vie. Elle tient à nous en parler.
Ça commence comme l’aveu banal d’une histoire d’amour ordinaire, avec son éblouissement premier, ses complications prévisibles, et peu à peu, sans crier gare, ça glisse vers un drame humain de notre temps.

Cette histoire, c’est la sienne, ça pourrait être la nôtre.

Née en 1977, elle suit des études théâtrales et devient comédienne avant de se consacrer à l’écriture. La plupart de ses pièces sont publiées aux Editions Théâtrales. Certaines le sont aussi aux Editions Lansman.

Elle publie également des albums jeunesses chez Joyvox, dont  l’Orage à la maison », qui remporte le grand prix du livre audio en 2021.

Elle écrit beaucoup pour Olivier Letellier et adapte notamment pour lui « Oh boy », de Marie-Aude Murail, spectacle qui remporte le Molière jeune public en 2010 et est recréé à Broadway, New York, en 2017. Dernièrement, « la mécanique du hasard », et « un furieux désir de bonheur » rencontrent un vif succès.

En 2015, elle écrit et réalise « Envie de » son premier court-métrage pour France 2.

« Entre eux deux » remporte de prix Godot et le prix A la Page. « Les vilains petits », remporte le prix des collégiens à la Seyne sur Mer, et le prix Galoupiot. « Elois et Léon » est coup de cœur à Cergy Pontoise.

Parmi ses collaborations, on compte Bénédicte Guichardon qui met en scène « Timide » et « les vilains petits », Philippe Boronad qui met en scène « Braises », et Johanny Bert sur « Epopée ».

Depuis 2018, elle est artiste associée au Théâtre de la Ville de Paris et au Théâtre le Forum sur l’agglomération Fréjus/StRaphaèl. Elle est aussi artiste complice à la Filature à Mulhouse ainsi qu’au CDN de Nancy.

En Juin 2021 « Le processus » sort dans la collection ado des éditions « le Rouergue ». Le spectacle est mis en scène par Johanny Bert sur la saison 21/22.

« Dissolution », son dernier texte, sera mis en scène par Julia Vidit pour le festival Odysées en Yvelines, organisé par le théâtre de Sartrouville.

Née en 1976, auteure et musicienne, Julie Rey a commencé à écrire et elle n’a jamais pu s’arrêter. De concerts littéraires en lectures musicales (c’est qu’elle aime mélanger chansons et littérature), elle écrit aussi pour le théâtre des pièces et des romans pour adultes et pour enfants. Elle aime explorer les ressemblances entre les êtres, notamment celles qu’on dit impossibles. Cette tentative de rapprocher les irréconciliables est au cœur de son travail. 

Depuis 2011, elle dirige la Compagnie Petits Papiers et invite à chaque création des artistes différents. 

En septembre 2018, Julie a fait partie des auteurs Coups de cœur de la rentrée de la revue Théâtre(s). 

En 2019/2021, elle crée deux lectures musicales. L’une à partir de poèmes de Zéno Bianu, l’autre à partir de ses propres textes, actuellement en tournée et intitulée Le Courage.

« C’était vers la fin de l’automne »