C’était vers la fin de l’automne

De Jean-Louis Bourdon

L’ÉQUIPE :

Mise en scène : Etienne Grebot

Avec : Pauline Popard

Lumières : Julien Barbazin

Costumes : Amélie Loisy

Vidéo : Thomas Bart

Accessoires : Elise Nivault

Administration de production : Sarah Douhaire

Une production : Les Encombrants

Accueil en résidence : Théâtre de Beaune, Artdam, Théâtre Mansart Crous BFC

Avec le soutien de : la DRAC Bourgogne Franche-Comté dans le cadre du plan de relance et de la ville de Dijon dans le cadre de « l’été on continue ».

Créé à l’été 2022 dans les parc et jardins , en lycées, dans les théâtres….

L’Histoire : C’est l’histoire d’une femme merveilleusement simple, pas banale, mais simple, c’est-à-dire ne recherchant que les petits bonheurs qu’offre la vie. Un petit rien l’enchante. Et puis surtout, au début de l’automne, elle rencontre l’amour de sa vie. Elle tient à nous en parler.Ça commence comme l’aveu banal d’une histoire d’amour ordinaire, avec son éblouissement premier, ses complications prévisibles, et peu à peu, sans crier gare, ça glisse vers un drame humain de notre temps.

Cette histoire, c’est la sienne, ça pourrait être la nôtre.

Un spectacle tout terrain qui se joue en salle et hors les murs.

Ce qu’ils en on dit :

« J’ai fait venir C’était vers la fin de l’automne pour deux classes de première STMG au mois de Janvier. Ce qui m’a d’abord attirée dans ce projet, c’est le texte de Jean-Louis Bourdon dont la langue à la fois concrète et poétique permet d’aborder des sujets forts comme l’amour ou la maladie. Les élèves ont d’ailleurs été sensibles, dès le travail de préparation, à cette écriture contemporaine.

La jeune comédienne, Pauline, porte avec beaucoup de justesse et d’énergie ce monologue, en autorisant une identification et sans tomber dans le piège du pathos. La mise en scène invite les spectateurs à un travail de reconstitution du fil narratif, comme pour réassembler les pièces d’un puzzle. Les élèves ont vraiment aimé que cette histoire ne leur soit pas donnée dans une sorte d’immédiateté, mais qu’il y ait des fils à tirer, des signes à interpréter, notamment à la fin.

La rencontre s’est également révélée riche, soulevant des questions, confrontant les regards des spectateurs. C’était une belle expérience pour des élèves qui, pour certains, assistaient à leur première représentation théâtrale. »

Gaëlle Cabau Lycée Montchapet Dijon